Jésus enflammait les foules!
Jésus allait en faisant le bien autour de Lui.
Marc 3. ‘’7 Jésus se retira vers la mer avec ses disciples. Une grande multitude le suivit, venue de Galilée, 8 de Judée, de Jérusalem, d’Idumée, de Transjordanie et des environs de Tyr et de Sidon. Une grande multitude, apprenant tout ce qu’il faisait, vint à lui.’’
Jésus, quant à lui, enflammait les foules en leur parlant d’amour du prochain et d’entraide.
Vivez-vous vraiment et entièrement pour Jésus?
Votre cœur, votre âme, vos pensées, vos membres, vos mains, vos pieds, vos oreilles, vos yeux sont-ils entièrement et seulement pour le Père Céleste?
Il vous a appelés, vous lui appartenez et IL vous donnera Son coeur pour l’aimer et pour aimer au-travers Lui, si vous le lui demandez.
Connaissons-nous la souffrance et la pauvreté de ceux avec lesquels nous entrons en contact ?
L’obéissance est naturelle, spontanée quand je me rends compte que je Lui appartiens. Donnez-vous pleinement à Jésus.
C’est à moi que vous l’avez fait…
Jésus désire être à l’action au-travers chacun de nous… En nourrissant celui qui a faim, en visitant celui qui est malade… Soit que nous participons ou que nous nous opposons à Sa volonté.
Jésus s’identifie à chacun de nous qui sommes dans le besoin…
‘’J’avais faim, j’étais malade et en prison et vous n’êtes pas venu vers moi …’’
Savons-nous ce que veut dire avoir faim et soif, être seul et ne pas être aimé ?
Savons-nous ce que signifie être malade et rejeté, sans abri, incompris ?
Des personnes au cœur entièrement brisé, complètement désespéré et vraiment blessé.
Quelqu’un a dit: ‘’Quand vous priez, vous commencez à aimer.’’
Jésus n’a pas dit de prier Dieu pour qu’il nourrisse les pauvres, qu’il guérisse les malades et visite les prisons.
C’est lui justement qui est l’affamé, le malade, le prisonnier qui aspire à être aidé à vivre. Il vous emploiera pour accomplir de grandes choses, si vous croyez davantage en Son Amour qu’en votre faiblesse.
Il se peut que vous rencontriez des personnes comme cela et vous devez apprendre à les reconnaître.
Pouvez-vous voir la souffrance terrible de vos amis, cette solitude, cette peur, ce sentiment de solitude, de rejet, de ne pas être aimé?